Roman philosophique et humaniste:L’homme au landau

C’est le parcours de « l’homme au landau » qui découvre petit à petit bonheur et sérénité dans un univers d’oppositions et de contradictions.

Roman philosophique et humaniste:L’homme au landau


Comment appréhendons-nous notre monde ? Comment y trouver le bonheur ? C’est la recherche et le parcours de « l’homme au landau » qui découvre petit à petit ce bonheur et la sérénité dans un univers d’oppositions et de contradictions.

Lumineux et chaleureux, bleu et ensoleillé, obscur et violent, gris et noir. Beau et vibrant d’amour, laid et transpirant de haine. Harmonieux et discordant. Simple et complexe. Petit et mesquin, grand jusqu’à l’infini. A la fois inerte et mû par une sorte d’élan vital immuable et pérenne. Fermé et ouvert. Contraint et libre.  Sensible et dur. Tel est le monde dans lequel nous vivons quotidiennement.

 Il subit encore les conséquences de la dernière guerre qui a meurtri sa famille.  Ce drame va l’amener à s’interroger sur les causes et les suites néfastes de la haine et de la violence et sur les aspects conflictuels de l’existence. Il rencontre une femme et trouve dans l’amour le sens profond de la vie.

Cet amour s’éveille avec un regard nouveau sur la nature avec laquelle les personnages seront en complète harmonie presque tout au long de l’ouvrage : « devant eux, la mer et le ciel se confondaient. La lumière intense semblait simplifier les formes et les couleurs et les inviter à se fondre dans cet étrange paysage ».

 

L’évolution de l’homme est comparable à celle de la nature : l’éveil, la progression vers la maturité puis la sagesse.  L’automne et l’hiver ne sont qu’un passage, dans l’attente d’un renouveau. L’art peut être aussi considéré dans certains cas comme le reflet de la transformation de l’homme qui reproduit puis se libère peu à peu à travers une expression plus personnelle, ce qui correspond, chez le personnage principal au passage des réalités à une réalité intérieure en concordance avec l’amour qui va donner tout son sens à sa recherche.

On pense à Kandinsky qui parle des lois de la nécessité intérieure. Pour lui l’artiste ne doit pas se soumettre à la forme reconnue, son œil doit être dirigé vers sa vie intérieure.

 

Le personnage principal trouvera la sérénité par l’expérience de l’amour incluant l’enfant puis la famille et élargi à l’environnement humain et à la nature…  L’amour est pour lui une sorte de nécessité à la fois intérieure (besoin existentiel de tout être) et universelle.

 



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